Et si on trouvait un successeur à Laurent Brochard (San Sebastian, 1997) cette année ? Et si un français levait les bras lors du dernier passage sur la ligne d’arrivée, au Firenze Mandela Forum ? C’est tout simple et ça tient en dix points.
- Parce que parmi les neuf coureurs sélectionnés, il doit bien y en avoir un dont la mère, la femme (ou copine) ou fille s’appelle Florence, non ? Avouez que ça ferait un beau cadeau.
- Parce que chaque année on a envie d’y croire, et c’est pas cette année que ça va changer.
- Parce qu’on a une arme fatale : le chauffard de France Télé (vous ne voyez pas ? Demandez à Johnny Hoogerland), sûrement capable de renverser n’importe qui n’importe quand.
- Parce que sinon on a Rémi Gaillard pour faire n’importe quoi.
- Parce que Bernard Bourreau nous sort un podium chaque année depuis 2011 (Démare et Petit 2011, Coquard 2012).
- Parce que Bernard Bourreau obtient désormais un titre tous les deux ans (Sicard 2009, Démare 2011). C’est mathématique.
- Parce que Bernard c’est un Bourreau de travail.
- Parce qu’on a déjà eu deux champions du monde français sacrés en Italie (Stablisnki à Salo en 1962, Leblanc à Agrigente en 1994). Jamais deux sans trois comme on dit.
- Parce qu’avec Riblon, y’aura le « neuf-trois » aux mondiaux. Et ça va faire mal.
- Mais surtout parce que Barguil, Riblon ou Voeckler (entre autres) peuvent le faire. Et la jeune génération est bien présente.
Alors, on y croit à un résultat français ?
Pourquoi un français peut gagner à Florence ?