Paperback's papers
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Gosso
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Très bien ce dernier article et bien l'encadré sur Desthieux !
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Re: Paperback's papers
Article polémique à venir prochainement. Parce que j'avais envie de faire chier.
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Re: Paperback's papers
Equipe de France : pourquoi cette joie ?
La France s'est donc qualifiée pour le Mondial 2014. Une semaine plus tard, la température est retombée, et il est temps de faire un bilan à froid de ce match retour au Stade de France, et de la vague qui a déferlé par sa faute.
Il est temps pour les rabat-joie de sortir de leurs tanières. J’en suis un. Alors excusez-moi, mais je me dois de ralentir vos rêves de Coupe du Monde, votre imagination débordante depuis mardi dernier. Exprimer une pensée négative dans cet océan d’optimisme qui nous envahit. Car, soyons clairs : de mon point de vue, la victoire française n’a rien d’une bonne nouvelle.
Soyons d’accord sur un point. Manquer un Mondial au Brésil, ça aurait été bête. C’est l’événement à ne pas manquer. Un pays qui aime tellement le football qu’il souffre encore d’une vieille blessure, subie en 1950, lors de la même compétition que celle qui va tenir le Monde en haleine l’an prochain. Alors, oui, dans ce cas, c’est une bonne chose que la France y soit. Ce serait encore mieux si nous pouvions tomber dans le groupe du Brésil. Pour voir la ferveur d’un pays, d’une nation même, autour d’une seule et unique équipe, de 23 joueurs soudés pour la victoire. Ca nous donnerait une leçon, à nous Français. Une leçon de jeu, à un pays qui, à l’image de son équipe de football, est trop individualiste. Car là est bien l’un des problèmes majeurs de l’équipe de France : ce n’est tout simplement pas une équipe.
On possède actuellement l’un des viviers les plus talentueux du Monde du football, mais personne ne sait quoi en faire. Chaque année, on nous présente le nouveau Zidane, le nouveau Platini. Mais, dans quinze ans, on ne parlera pas de nouveau Nasri, nouveau Benzema, nouveau Ribéry. Tout simplement parce que ces trois joueurs, comme le reste du onze français et, plus généralement, de la sélection, n’ont jamais réussi à briller avec le maillot bleu comme ils le font en club, et ne feront jamais partie ni ne seront les leaders d’un groupe soudé. Aujourd’hui, l’équipe de France est un champ de ruines. Et nous en sommes venus à abaisser nos standards. L’an prochain, cela fera 16 ans que Zidane et compagnie remportaient le Mondial, et 8 ans que ce même ZZ apportait à la France cette touche de génie et de magie qui lui manquait pour la mener à une nouvelle finale, cette fois perdue. 16 et 8 ans. Pas grand chose. Abidal et Ribéry étaient déjà là. Mais, en si peu de temps, la sélection est devenue, à l’image du pays qu’elle représente, médiocre. Et on en vient à encenser un Onze qui bat l’Ukraine en barrages pour le Mondial.
A en croire les profusions de joie vues partout en France dans les minutes qui ont suivi le match, et même dans les jours qui ont succédé à cette qualification certes historique mais somme toute normale pour un pays comme la France, on serait presque revenu en juillet 1998. Le Stade de France n’avait plus été aussi bouillant depuis un autre 3-0, contre une équipe bien plus prestigieuse. Chacun des buts français a été suivi d’une explosion de joie tonitruante dans les tribunes. Mamadou Sakho, qui a marqué deux buts, a bien été le héros de la rencontre, c’est indéniable. Mais de là à le comparer à Lilian Thuram ? Vraiment ? Je doute fort de la véracité de tels propos. Je ne vois pas Mamadou Sakho jouer 142 matchs en équipe de France, en devenir un titulaire indéboulonnable et, surtout, le rapport entre les buts de Thuram et de Sakho est ahurissant de mauvaise foi.
Souvenez-vous. C’était le 8 juillet 1998. Menée 1-0 lors du Mondial à la maison, la France retournait la situation grâce à deux buts de son meilleur défenseur, qui n’avait jusque-là jamais marqué en bleu. C’était en demi-finale et, quatre jours plus tard, ce même homme était titré champion du Monde. Sakho, lui, a marqué ses buts en barrages pour accéder aux phases de poules de cette compétition. Il restera ensuite à battre des adversaires coriaces, souvent mieux classés que la France au classement FIFA, puis à passer deux tours à élimination directe. Là, la France sera en demi-finales, et là, si un défenseur marque deux buts, on pourra un tant soit peu le comparer à Thuram. Avouez qu’on en était loin, mardi dernier. Même si c’était au Stade de France.
Et ce qui me dérange le plus, c’est que ces barrages n’auraient jamais dû arriver. Cette situation n’est pas digne de la France. Un pays au tel patrimoine footballistique, qui a vu naître Kopa, Fontaine, Platini et Zidane… on ne devrait pas le retrouver en barrages. On était dans le groupe de l’Espagne, c’est vrai. La faute à qui ? Qui s’est fait éliminer dès la phase de groupes du Mondial 2010 et en quart de l’Euro 2012 ? C’est de la dénonciation facile, mais c’est la pure vérité. Si la France n’a pas pu se qualifier directement, c’est parce qu’elle n’en a plus le niveau ni l’envie. Alors oui, il y a des jeunes dans cette équipe. Et ils ont été les héros du match de mardi. C’est vrai. Mais le noyau dur est le même que lors des deux dernières compétitions internationales auxquelles la France a pris part. Ribéry, Evra et compagnie étaient là en 2010. Ils étaient encore là, pour la plupart, en 2012. Et ils ont participé à ce gâchis, qui a fait que la France a souffert durant ces barrages d’un tirage difficile, reversée avec la meilleure sélection du Monde.
Mais laissons leur chance aux jeunes. D’accord. Ils n’étaient pas là, les Varane, Pogba, Sakho, ceux qui ont brillé au Stade de France la semaine dernière. Et il n’était pas là, Didier Deschamps, arrivé au poste de sélectionneur après le dernier Euro. C’est vrai, il faut leur laisser le temps. Mais, dans ce cas, qu’on m’explique la défaite en Ukraine, 2-0, alors même que tout le monde présentait cette sélection comme la plus accessible, avec la Grèce, des têtes de série pour le Mondial. On se voyait déjà à la Coupe du Monde, et ils nous ont faits redescendre sur terre. Et oui, on a réagi. Et la France a explosé…de joie, alors qu’elle était prête à le faire sous le coup de la colère en cas d’élimination. C’est ça, le problème, aussi.
Deschamps, Sakho, Ribéry, même Nasri ont été portés en héros (alors que ce dernier n’a rien fait pour qualifier la France). Si la France avait gagné 2-0 et avait été éliminée aux tirs au but, ils auraient été brûlés sur la place publique. Pire, si la France avait dominé l’Ukraine 2-0 à l’aller et avait assuré au retour, on aurait parlé de qualification normale. Encore pire, si la France avait été tête de série pour les tirages des éliminatoires (la Norvège l’était, c’est dire s’il y avait de la place), et s’était qualifiée directement, cette qualification n’aurait presque pas été relayée. Là, ça n’aurait pas été normal, ça aurait été obligatoire. Mais la France est à présent une équipe moyenne, et on sait se contenter d’une qualification étriquée pour les phases de poules du Mondial. Et, dans quelques mois, cette même France pleurera les défaites humiliantes en phase de poule et l’élimination avec un ou deux points.
Vous me direz qu’un groupe s’est créé ce mardi soir au Stade de France. Oui, un groupe s’est créé. Comme le 29 février 2012, quand on avait battu l’ogre allemand à Brême. Vous vous souvenez ? 8 mois plus tard, on perdait à domicile contre le Japon. Alors permettez-moi de ne pas être satisfait d’une qualification 3-2 sur l’ensemble des deux matchs face à l’Ukraine en match de barrage. Permettez-moi de ne pas être satisfait de voir la France obligée de passer par ces satanés barrages pour se qualifier pour un Mondial au Brésil. Permettez-moi d’en demander plus. Et permettez-moi d’attendre encore quelques mois avant de trouver une raison d’être vraiment heureux des prestations de cette sélection.
Soyons d’accord sur un point. Manquer un Mondial au Brésil, ça aurait été bête. C’est l’événement à ne pas manquer. Un pays qui aime tellement le football qu’il souffre encore d’une vieille blessure, subie en 1950, lors de la même compétition que celle qui va tenir le Monde en haleine l’an prochain. Alors, oui, dans ce cas, c’est une bonne chose que la France y soit. Ce serait encore mieux si nous pouvions tomber dans le groupe du Brésil. Pour voir la ferveur d’un pays, d’une nation même, autour d’une seule et unique équipe, de 23 joueurs soudés pour la victoire. Ca nous donnerait une leçon, à nous Français. Une leçon de jeu, à un pays qui, à l’image de son équipe de football, est trop individualiste. Car là est bien l’un des problèmes majeurs de l’équipe de France : ce n’est tout simplement pas une équipe.
On possède actuellement l’un des viviers les plus talentueux du Monde du football, mais personne ne sait quoi en faire. Chaque année, on nous présente le nouveau Zidane, le nouveau Platini. Mais, dans quinze ans, on ne parlera pas de nouveau Nasri, nouveau Benzema, nouveau Ribéry. Tout simplement parce que ces trois joueurs, comme le reste du onze français et, plus généralement, de la sélection, n’ont jamais réussi à briller avec le maillot bleu comme ils le font en club, et ne feront jamais partie ni ne seront les leaders d’un groupe soudé. Aujourd’hui, l’équipe de France est un champ de ruines. Et nous en sommes venus à abaisser nos standards. L’an prochain, cela fera 16 ans que Zidane et compagnie remportaient le Mondial, et 8 ans que ce même ZZ apportait à la France cette touche de génie et de magie qui lui manquait pour la mener à une nouvelle finale, cette fois perdue. 16 et 8 ans. Pas grand chose. Abidal et Ribéry étaient déjà là. Mais, en si peu de temps, la sélection est devenue, à l’image du pays qu’elle représente, médiocre. Et on en vient à encenser un Onze qui bat l’Ukraine en barrages pour le Mondial.
A en croire les profusions de joie vues partout en France dans les minutes qui ont suivi le match, et même dans les jours qui ont succédé à cette qualification certes historique mais somme toute normale pour un pays comme la France, on serait presque revenu en juillet 1998. Le Stade de France n’avait plus été aussi bouillant depuis un autre 3-0, contre une équipe bien plus prestigieuse. Chacun des buts français a été suivi d’une explosion de joie tonitruante dans les tribunes. Mamadou Sakho, qui a marqué deux buts, a bien été le héros de la rencontre, c’est indéniable. Mais de là à le comparer à Lilian Thuram ? Vraiment ? Je doute fort de la véracité de tels propos. Je ne vois pas Mamadou Sakho jouer 142 matchs en équipe de France, en devenir un titulaire indéboulonnable et, surtout, le rapport entre les buts de Thuram et de Sakho est ahurissant de mauvaise foi.
Souvenez-vous. C’était le 8 juillet 1998. Menée 1-0 lors du Mondial à la maison, la France retournait la situation grâce à deux buts de son meilleur défenseur, qui n’avait jusque-là jamais marqué en bleu. C’était en demi-finale et, quatre jours plus tard, ce même homme était titré champion du Monde. Sakho, lui, a marqué ses buts en barrages pour accéder aux phases de poules de cette compétition. Il restera ensuite à battre des adversaires coriaces, souvent mieux classés que la France au classement FIFA, puis à passer deux tours à élimination directe. Là, la France sera en demi-finales, et là, si un défenseur marque deux buts, on pourra un tant soit peu le comparer à Thuram. Avouez qu’on en était loin, mardi dernier. Même si c’était au Stade de France.
Et ce qui me dérange le plus, c’est que ces barrages n’auraient jamais dû arriver. Cette situation n’est pas digne de la France. Un pays au tel patrimoine footballistique, qui a vu naître Kopa, Fontaine, Platini et Zidane… on ne devrait pas le retrouver en barrages. On était dans le groupe de l’Espagne, c’est vrai. La faute à qui ? Qui s’est fait éliminer dès la phase de groupes du Mondial 2010 et en quart de l’Euro 2012 ? C’est de la dénonciation facile, mais c’est la pure vérité. Si la France n’a pas pu se qualifier directement, c’est parce qu’elle n’en a plus le niveau ni l’envie. Alors oui, il y a des jeunes dans cette équipe. Et ils ont été les héros du match de mardi. C’est vrai. Mais le noyau dur est le même que lors des deux dernières compétitions internationales auxquelles la France a pris part. Ribéry, Evra et compagnie étaient là en 2010. Ils étaient encore là, pour la plupart, en 2012. Et ils ont participé à ce gâchis, qui a fait que la France a souffert durant ces barrages d’un tirage difficile, reversée avec la meilleure sélection du Monde.
Mais laissons leur chance aux jeunes. D’accord. Ils n’étaient pas là, les Varane, Pogba, Sakho, ceux qui ont brillé au Stade de France la semaine dernière. Et il n’était pas là, Didier Deschamps, arrivé au poste de sélectionneur après le dernier Euro. C’est vrai, il faut leur laisser le temps. Mais, dans ce cas, qu’on m’explique la défaite en Ukraine, 2-0, alors même que tout le monde présentait cette sélection comme la plus accessible, avec la Grèce, des têtes de série pour le Mondial. On se voyait déjà à la Coupe du Monde, et ils nous ont faits redescendre sur terre. Et oui, on a réagi. Et la France a explosé…de joie, alors qu’elle était prête à le faire sous le coup de la colère en cas d’élimination. C’est ça, le problème, aussi.
Deschamps, Sakho, Ribéry, même Nasri ont été portés en héros (alors que ce dernier n’a rien fait pour qualifier la France). Si la France avait gagné 2-0 et avait été éliminée aux tirs au but, ils auraient été brûlés sur la place publique. Pire, si la France avait dominé l’Ukraine 2-0 à l’aller et avait assuré au retour, on aurait parlé de qualification normale. Encore pire, si la France avait été tête de série pour les tirages des éliminatoires (la Norvège l’était, c’est dire s’il y avait de la place), et s’était qualifiée directement, cette qualification n’aurait presque pas été relayée. Là, ça n’aurait pas été normal, ça aurait été obligatoire. Mais la France est à présent une équipe moyenne, et on sait se contenter d’une qualification étriquée pour les phases de poules du Mondial. Et, dans quelques mois, cette même France pleurera les défaites humiliantes en phase de poule et l’élimination avec un ou deux points.
Vous me direz qu’un groupe s’est créé ce mardi soir au Stade de France. Oui, un groupe s’est créé. Comme le 29 février 2012, quand on avait battu l’ogre allemand à Brême. Vous vous souvenez ? 8 mois plus tard, on perdait à domicile contre le Japon. Alors permettez-moi de ne pas être satisfait d’une qualification 3-2 sur l’ensemble des deux matchs face à l’Ukraine en match de barrage. Permettez-moi de ne pas être satisfait de voir la France obligée de passer par ces satanés barrages pour se qualifier pour un Mondial au Brésil. Permettez-moi d’en demander plus. Et permettez-moi d’attendre encore quelques mois avant de trouver une raison d’être vraiment heureux des prestations de cette sélection.
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cunego
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Re: Paperback's papers
I can't agree more.
Roi de l'Eneco sur les pronos ( 2ème en 2012 et 2013 et vainqueur en 2014 ), approuvé par Julichbob !
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KArt
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Re: Paperback's papers
Tout est dit.
J'ai entendu Domenech (qui quoi qu'on en dise était pas si mauvais dirigeant que ça) à la radio l'autre jour. Il a dit quelque chose de très juste. On ne va pas à la Coupe du monde pour la gagner, vu le niveau actuel de l'Equipe de France ce n'est pas concevable.
Si on va au Brésil c'est pour préparer l'Euro 2016 que l'on doit gagner. Pour ça, il faudra permettre aux jeunes de prendre du galon. La croisade a commencé lors de ces barrages ou les tauliers n'ont pas été Ribéry, Benzema ou Abidal qu'on attendait tous, mais Pogba, Sakho( pour la qualif) et Cabaye.
Donc DD va devoir faire des choix et je suis pour que des mecs comme Abidal (au diable le symbole), Nasri ou Evra ne soient pas à la Coupe du Monde, peu importe leur performance en club. Il faut préparer l'avenir et convoquer des Cabella, Griezmann, Mangalla, Pogba etc.
En 2016 il faut une équipe compétitive, 2014 n'est qu'une étape.
Je suis complètement d'accord avec ton point de vue, mais il faut aussi voir l'effet inverse, Est-ce que 98 et 06 n'ont pas été au-dessus des moyens de la France (merci Zizou) et non normal comme on le pense ?
Bref, un article comme je les aime où après avoir fini la lecture on peut débattre dessus !
bravo à toi
J'ai entendu Domenech (qui quoi qu'on en dise était pas si mauvais dirigeant que ça) à la radio l'autre jour. Il a dit quelque chose de très juste. On ne va pas à la Coupe du monde pour la gagner, vu le niveau actuel de l'Equipe de France ce n'est pas concevable.
Si on va au Brésil c'est pour préparer l'Euro 2016 que l'on doit gagner. Pour ça, il faudra permettre aux jeunes de prendre du galon. La croisade a commencé lors de ces barrages ou les tauliers n'ont pas été Ribéry, Benzema ou Abidal qu'on attendait tous, mais Pogba, Sakho( pour la qualif) et Cabaye.
Donc DD va devoir faire des choix et je suis pour que des mecs comme Abidal (au diable le symbole), Nasri ou Evra ne soient pas à la Coupe du Monde, peu importe leur performance en club. Il faut préparer l'avenir et convoquer des Cabella, Griezmann, Mangalla, Pogba etc.
En 2016 il faut une équipe compétitive, 2014 n'est qu'une étape.
Je suis complètement d'accord avec ton point de vue, mais il faut aussi voir l'effet inverse, Est-ce que 98 et 06 n'ont pas été au-dessus des moyens de la France (merci Zizou) et non normal comme on le pense ?
Bref, un article comme je les aime où après avoir fini la lecture on peut débattre dessus !
bravo à toi
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Gosso
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Re: Paperback's papers
Très bien écrit !
Alors pour ma part, j'ai été parmi ceux qui ont hurlé sur chaque but et qui ont fêté plus que de raison cette qualif' mais c'est ce scénario fou qui a voulu ça et je me réjouis d'avoir enfin vu un public un minimum concerné au Stade de France et d'avoir enfin vu une équipe qui avait les crocs.
Mais comme toi, je reste mesuré pour la Coupe du Monde, surtout qu'il peut se passer bien des choses d'ici là (nouveau dérapage médiatique, blessures...), que ça va être bien difficile d'enchaîner les matchs avec une telle intensité (surtout avec la pression et la fatigue de fin de saison) et que plus d'un mois en vase clos, on sait tous que les égos et les tensions peuvent rejaillir assez vite.
Mais y'a quand même un espoir de voir cette équipe surfer sur cette vague ascendante et réaliser une belle Coupe du Monde et je suis parmi ceux qui préfèrent rêver (en même temps, c'est pas avec Bordeaux, que je vais me réjouir cette année
)...
@KArt : Corchia, j'espère que tu rigoles
Et je vois Zouma déloger Sakho... Difficile de se projeter si loin néanmoins. Certains joueurs vont se perdre d'autres exploser, on verra...
Alors pour ma part, j'ai été parmi ceux qui ont hurlé sur chaque but et qui ont fêté plus que de raison cette qualif' mais c'est ce scénario fou qui a voulu ça et je me réjouis d'avoir enfin vu un public un minimum concerné au Stade de France et d'avoir enfin vu une équipe qui avait les crocs.
Mais comme toi, je reste mesuré pour la Coupe du Monde, surtout qu'il peut se passer bien des choses d'ici là (nouveau dérapage médiatique, blessures...), que ça va être bien difficile d'enchaîner les matchs avec une telle intensité (surtout avec la pression et la fatigue de fin de saison) et que plus d'un mois en vase clos, on sait tous que les égos et les tensions peuvent rejaillir assez vite.
Mais y'a quand même un espoir de voir cette équipe surfer sur cette vague ascendante et réaliser une belle Coupe du Monde et je suis parmi ceux qui préfèrent rêver (en même temps, c'est pas avec Bordeaux, que je vais me réjouir cette année
)...@KArt : Corchia, j'espère que tu rigoles
Et je vois Zouma déloger Sakho... Difficile de se projeter si loin néanmoins. Certains joueurs vont se perdre d'autres exploser, on verra...-
KArt
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Re: Paperback's papers
Gosso a écrit : @KArt : Corchia, j'espère que tu rigoles
Pas du tout. Le type est pas capitaine des espoirs pour rien. Il a été un des seuls à surnager à Sochaux l'an passé. Lors de son arrivée j'avais de la peine pour lui. Sans oublier que si son transfert vers Lyon s'était concrétisé fin juillet, la donne aurait été tout autre.
Parce que Lyon, pour une raison que j'ignore, a préféré recruter Miguel Lopez en PRET !!!
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KArt
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Re: Paperback's papers
AH c'est sur que la coupe de cheveux vaut le détourGosso a écrit :Le coup d'oeil
Et était capitaine des espoirs, c'est fini maintenant
Oui oui je sais...malheureusement l'âge d'or ne dure pas, c'est pas à toi que je vais apprendre ça
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Paperback Writer
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Re: Paperback's papers
Merci de vos réactions, et content de voir qu'on ne fait pas de plans sur la comète après avoir battu la terrible Ukraine. Même si je reste persuadé qu'une équipe de France unie, qui ne se base pas sur ses individualités, mériterait d'être parmi les favorites. Mais ce n'est pas le cas, malheureusement.